Ces paroles ne vous diront sans doute rien !
C’est le début du refrain d’une chanson de Charles Aznavour. Refrain qui se poursuit par « le tien, le mien, celui qu’on veut nôtre ».
En ce début d’année, je pourrais vous offrir des vœux de succès (qui mettent un peu la pression il faut bien le dire) alors que je vous souhaite simplement le meilleur (mais ça met aussi la pression).
En fait, je vous souhaite surtout d’avoir du temps pour profiter de vos réussites (avant de s’engouffrer dans le projet suivant) et de vos échecs et de vos « moins bien » aussi pour se donner le temps de les vivre, de les comprendre. Du temps pour tout et du temps pour rien.
Le temps « qu’on veut nôtre » ; la chanson parle aussi du « temps des uns, le temps des autres ». On le sait la notion de temps est très relative. Propre à chacun, il est plutôt rare que l’on s’accorde en équipe, en famille, avec les amis sur une vision commune du temps. Définir le temps dont on a besoin, définir ce qu’est pour chacun et pour tous un court, moyen ou long terme serait constructif et aiderait surement à mieux vivre.
Le temps pour les entrepreneures
Le sujet du temps est très, très « préoccupant » chez les femmes entrepreneures que j’accompagne. Il y a de multiples raisons à cela, et tout autant de solutions pour évoluer favorablement sur ce sujet, mais je vous en parlerai une autre fois !
Je pourrais aussi vous écrire sur deux visions différentes du temps. Le temps linéaire de l’occident et le temps circulaire des sociétés orientales, des « peuples autochtones ». Deux visions complémentaires riches d’enseignement, de réflexion et c’est pour toutes ces raisons que j’aborde ce thème dans le parcours « Dirigeante confiante & différente, la réussite au féminin ». Je vous en parlerai une autre fois !
Pour cet instant, je vous souhaite le temps d’aimer un peu, beaucoup, passionnément, à la folie…